La ville de Yaoundé s’ouvre en effet à la vue immédiate du touriste ou de l’habitant comme une succession luxuriante de collines, de vallées et de plateaux.
Ceci se formant en chaînes alternatives, d’est en ouest et du sud au nord, ce qui fait de son relief un tableau d’ensemble plutôt accidenté à même de gêner les piétons et les automobilistes, mais aussi de ravir les alpinistes et les cyclistes en quête de sensations fortes. Sept grandes collines de Yaoundé dont on parle tant et qui gagneraient à être mieux connus se présentent de la manière suivante :
Le Mont yéyé, situé en contrechamp du village Nkolondom. Il étend son ombre protectrice à la fois sur l’arrondissement de Yaoundé 1er et sur celui voisin d’Okola dans la Lekié ; le Mont Febé, géographiquement pas très éloigné du quartier Ntougou, Tsinga, carrefour golf et autres.
Il surplombe la colline verdoyante qui mène au célèbre hôtel du même nom et serait un des lieux mythiques défense de la souveraineté traditionnelle de la ville de Yaoundé à travers les Mvog betsi;
Le Mont Mbankolo, situé à l’arrière de Bastos et sur la façade gauche du Febe, est particulièrement rocheux et abrite les installations de transmission de la Cameroun RadioTélévision CRTV ; le Mont Eloumden, repérable aux alentours du quartier Nkolbisson, il passerait pour le plus haut par sa taille ; le Mont Messa est situé à l’extrême sur de la ville.
En fin le Mont Nyom et le Mont Ndobo sont repérables à leurs dimensions bien plus réduites et leur impact anthropologique moins affirmé aux dires des natifs de Yaoundé. Telle est la revue des sept collines d’Ongola.
Par Esther NGO NGWE
Source 237campus.com
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